jui
08
Auteur : Marguerite Duras
Parution : 1960
Pays : France
Type : Drame – Contemporain
Genre : Roman
Résumé : C’est encore une fois les
vacances. Encore une fois les routes d’été. Encore une fois des églises à
visiter. Encore une fois dix heures et demie du soir en été. Des Goya à voir.
Des orages. Des nuits sans sommeil. Et la chaleur.
Un crime a lieu cependant qui aurait pu,
peut-être, changer le cours de ces vacances-là.
Mais au fond qu’est-ce qui peut faire
changer le cours des vacances ?
Note : 5/10
Avis : Cette fois-ci, Duras ne m’a
pas du tout séduite, et c’est réellement dommage vu le potentiel du roman. Simplement,
la tournure que prennent les événements à partir de la moitié du roman m’a
ennuyé. C’était dénué de tout sens, à partir donc de la moitié, malgré le début
séduisant. J’ai l’impression d’avoir pris une éternité à terminer les quelques
centaines de malheureuses pages qui me séparaient de mon but. Ce n’était pas
pénible, juste ennuyant. Les personnages : des personnages typiquement
durassiens qui n’ont absolument aucune personnalité, excepté le personnage
principal, Maria, qui se contente de boire de l’alcool constamment. Je ne
comprends absolument pas leurs motivations, soit parce qu’ils sont trop
complexes ou tout simplement indéfinissables. Ce n’est pas un roman de Duras
que je relirai pour le plaisir, en fait je n’y retoucherai probablement jamais
à moins qu’on doive le lire en classe ou bien que j’aie lu une analyse
littéraire de l’œuvre qui me ferait enfin comprendre pourquoi les personnages
réagissent de cette façon, aussi froide, vide et sans émotions réelles, comme s’ils
étaient des automates.
Extrait : « - Paestra, c’est le nom. Rodrigo Pasestra. »
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